INJECTION D'OXYTOCINE

ocytocine Également appelée ocytocine, cette substance active stimule les contractions utérines. Elle peut être extraite de l'hypophyse postérieure animale ou synthétisée chimiquement. Cette synthèse chimique inclut la vasopressine. Sans effet stimulant, elle stimule les muscles lisses utérins lors d'une excitation sélective, ce qui renforce leurs contractions. L'utérus est particulièrement sensible à l'ocytocine pendant le travail (augmentation de la sécrétion d'œstrogènes). Chez les utérus immatures, ce produit est inactif. La réaction de l'utérus à l'ocytocine est faible en début ou en milieu de gestation, puis augmente progressivement en fin de gestation, atteignant son maximum avant le travail. Une faible dose peut renforcer la contraction rythmique du muscle lisse de la base utérine, renforçant ainsi sa force contractile et accélérant sa fréquence. La propriété contractile est similaire à celle de l'accouchement naturel et maintient la polarité et la symétrie. C'est pourquoi elle est cliniquement utilisée pour l'administration d'ocytocine et le déclenchement du travail. Une forte dose de muscle utérin a montré une contraction tonique. Cliniquement, elle est utilisée pour comprimer les vaisseaux sanguins des fibres musculaires, prévenir et traiter les hémorragies post-partum et le rajeunissement post-partum incomplet, et favoriser la lactation. Ainsi, la contraction des canaux galactophores favorise la production de lait, sans toutefois augmenter la quantité de lait sécrété. Il est important de noter que la dose et la vitesse de perfusion doivent être strictement contrôlées lors de l'utilisation d'ocytocine ou du déclenchement du travail, afin d'éviter des contractions utérines toniques, pouvant entraîner une mort par asphyxie fœtale ou une rupture utérine. En l'absence de chimie du sang, une position fœtale anormale ou d'autres voies génitales, des contractions utérines anormales, des antécédents de césarienne et plus de trois femmes enceintes sont interdits. La préparation d'ocytocine isolée de l'hypophyse de bovins et de porcs provoque parfois une anaphylaxie, et une perfusion intraveineuse rapide peut provoquer une légère vasodilatation et une baisse de la tension artérielle. La vitesse de perfusion la plus rapide ne doit pas dépasser 40 à 60 gouttes par minute. Une dose légèrement plus élevée est également utilisée en cas d'hémorragie post-partum, d'avortement, etc. Ces dernières années, ce produit a montré un effet bénéfique sur l'hémoptysie pulmonaire et l'atonie gastro-intestinale après une résection du nerf vague ou une chirurgie abdominale. Inefficace par voie orale, facilement détruit par le suc digestif, mais absorbé par la muqueuse buccale, une perfusion intraveineuse de 0,01 UI en 1 à 3 minutes peut induire des contractions physiologiques de l'utérus (rythmicité, polarité, symétrie). La demi-vie d'une dose importante de 2,5 à 3 minutes seulement a montré une contraction tonique du muscle utérin. Il a un effet synergique avec les prostaglandines. L'hormone utérine est souvent utilisée avec une préparation à base d'ergot de seigle pour le traitement des saignements post-partum, des avortements inopinés, des accouchements induits en fin de grossesse et des hystérésis dues à une faiblesse des contractions utérines pendant le travail, des tests de sensibilité à l'ocytocine, des tests de provocation à l'ocytocine et des écoulements lactés post-partum. Hémoptysie.Le péristaltisme gastro-intestinal postopératoire était lent.

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